La loi sur les violences sexuelles et sexistes
La loi a été définitivement adoptée le 1 er août
Une grosse déception pour les associations !
Marie-Pierre Colombel, Présidente d’Enfance et Partage, fait part de sa déception concernant les dispositions relatives aux violences sexuelles sur mineurs : « comment, dans le pays des droits de l’homme, peut-on encore demander à un enfant de justifier s’il était consentant à une relation sexuelle avec un adulte ? »
Nombre d’associations et de personnalités, d’acteurs de terrain, ont prouvé qu’il était temps d’inverser la charge de la preuve, qu’un seuil d’âge devait être inscrit dans la loi afin de mieux protéger les enfants victimes de viol. Ils n’ont, hélas, pas été entendus et des procès comme ceux de Pontoise et de Meaux risquent de se répéter.
Enfance et Partage sera présente aux côtés des enfants victimes.